Le Credir vous propose divers thèmes d’ateliers. Ces sujets sont des composants clés dans la recherche d’un équilibre de qualité de vie globale. Chacun de ces thèmes aborde des dimensions fondamentales du bien-être, que ce soit sur le plan physique, émotionnel, social ou environnemental. Afin de répondre au mieux à vos besoins et aspirations, vous avez la possibilité de sélectionner les ateliers en fonction de deux types de critères distincts, que vous pouvez croiser pour affiner votre choix.
En croisant ces deux types de critères, vous pourrez ainsi concevoir une expérience d’apprentissage enrichissante et personnalisée, adaptée à vos attentes et à votre cheminement vers une qualité de vie optimale.
Les catégories
Ces catégories reprennent les éléments de notre pédagogie autour de la QVG et permettent de classer nos ateliers.
Issus de notre équation de la QVG à savoir :
- QVG (Qualité de Vie Globale)
- Santé
- QVT (Qualité de Vie au travail)
- QVHT (Qualité de Vie hors travail)
Auxquels nous avons ajoutés deux catégories complémentaires à savoir :
- Détente
- Divers
Les types
Nos ateliers évoluent constamment et nous les classons par type au sein de chacune des catégories. Ce type permet de coller à l’actualité, d’identifier les nouveautés ou de rester sur des ateliers de fond.
Les différents types sont les suivants :
- Fondamentaux, les plus importants à nos yeux
- Nouveautés, les derniers ajouts à notre catalogue
- Basiques, base de notre pédagogie de la QVG
- Pour mémoire, thèmes plus anciens
Ci-dessous, faites votre choix. À gauche vous pouvez rechercher par mot clé et/ou choisir un mix de catégories et de types. En haut à droite, agencez l’affichage des résultats.
Bonne découverte de notre catalogue d’ateliers !
Ateliers
Grace aux retours de la hotline #QVG, cet atelier raconte l’histoire d’Elena, confrontée aux surprises du télétravail qui rend la vie quotidienne plus complexe qu’on ne pouvait le penser. Il s’agit de donner de nombreux conseils précieux, actualisés en permanence par les retours du terrain vers les équipes du CREDIR.
Neuf professionnels sur dix rencontrent dans leurs vies des problèmes de sommeil.
Un sommeil insuffisant en quantité et en qualité, c’est la porte ouverte vers des problèmes de santé et de rationalité.
Comprendre comment fonctionne le sommeil dans le cerveau et découvrir de bonnes pratiques pour mieux dormir, c’est une perspective d’amélioration de la Qualité de Vie Globale (#QVG).
Dans l’environnement professionnel, quand cela ne va pas bien que cela soit pour soi et/ou les collaborateurs on se pose des questions, on accumule de petits signes qui peuvent être des gouttes d’eau qui font déborder le vase.
Pour se faire, au-delà de l’écoute et de la libération de la parole, il faut pouvoir en parler, trouver des solutions courts et moyens termes, se mettre ou se remettre en situation positive !
Les limites entre vie pro et vie perso sont constamment érodées.
On ne peut plus les séparer hermétiquement.
Il faut comprendre et optimiser les interactions.
Pourquoi temps de loisirs et temps de travail doivent être chacun respectés, pour soi, pour les autres, pour un réel équilibre nécessaire
Après un rappel sur le gaspillage alimentaire, nous nous intéresserons d’abord à la production de la nature.
Puis la théorie des 5 R nous permettra de voir comment être pro-actif sur ce sujet pour terminer avec les attitudes “Zéro déchet” et les modes d’achat.
Le monde du travail et le monde du sport présentent de nombreuses analogies.
S’entrainer pour un sportif est naturel pour durer et gagner, qu’en est-il pour un salarié, un cadre, comment s’entrainer pour tenir et gagner !
La vie professionnelle est souvent faite d’une succession de challenges ou d’épreuves, comme des compétitions sportives.
Il est possible de s’entraîner pour être plus épanoui et/ou performant.
On ne s’entend pas avec tout le monde et on peu même avoir des incompatibilités.
Cela arrive dans la vie perso et dans la vie professionnelle.
Ne rien faire et cela peut dégénérer.
Regardons les choses en face, avec des analyses collectives, et sortons des impasses.
Vie 1 professionnelle Vie 2 familiale et affective.
Si l’une des deux ne va pas bien, l’autre est facilement contaminée.
La 3ème vie va équilibrer le tout et donner des occasions de rencontres pour se sentir moins seul quand les problèmes arrivent.
Notre société est peu tolérante à l’échec et depuis longtemps dans nos vies : échec scolaire, échec amoureux, etc…
L’entreprise est un lieu de performance. Il faudrait tout le temps gagner ou réussir
Comme c’est curieux, l’échec ou la blessure sont acceptés chez le sportif de haut niveau.
Apprenons à rebondir après un échec dans l’organisation où on travaille.
Quand on dépasse une certaine limite de travail, on peut ruiner sa santé.
Mais cette limite varie entre les individus, entre les métiers, entre les employeurs, etc…
Recherchons la limite de charge de travail au-delà de laquelle nous ne serons plus ni performants, ni épanouis.
Les limites entre vie pro et vie perso sont constamment érodées.
On ne peut plus les séparer hermétiquement.
Il faut comprendre et optimiser les interactions.
Pourquoi temps de loisirs et temps de travail doivent être chacun respectés, pour soi, pour les autres, pour un réel équilibre nécessaire.
Dans l’environnement professionnel, quand cela ne va pas bien pour un individu, on entend souvent parler de souffrance, voire de maltraitance.
Un individu affaibli est sans doute plus sensible à de petits signes qui peuvent être des gouttes d’eau qui font déborder le vase.
Prenons conscience, à froid, de principes et pratiques de bientraitance.
On pourrait passer sa vie à dénoncer les addictions numériques et regretter d’autres temps.
Mais le numérique nous rend bien des services, quand il ne participe pas à une meilleure agilité du cerveau.
Regardons comme optimiser notre qualité de vie avec un bon usage du numérique.
Dans les spirales qui conduisent au burn-out, on entend souvent parler de perte sens au travail, de perte d’énergie pour réagir, de solitude, etc.
Avoir une bonne qualité de vie hors travail, avec une socialisation bénéfique, peut être un amortisseur de ces souffrances perçues.
En ces temps difficiles de pandémie, de crise ou d’échec personnel, le risque est de tout voir en noir.
Le pire est certain.
Oui mais certains ont touché le fond avec des situations très critiques. Et pourtant ils sont là. Ils ont l’esprit positif du survivant.
Marion vous racontera son échec aux JO et son succès au championnat du monde, 3 ans après.
Cette histoire et l’énergie bienveillante de Marion génèrent toujours des interactions formidables avec son public.
En ces temps difficiles de pandémie, de crise ou d’échec personnel, le risque est de tout voir en noir.
Le pire est certain.
Oui mais certains ont touché le fond avec des situations très critiques.
Et pourtant ils sont là. Ils ont l’esprit positif du survivant. 2 fois son cœur à lâché, deux fois elle est revenue.
Après des années de QVT dans certaines entreprises bien intentionnées, il est curieux que les collaborateurs continuent à flancher.
C’est la preuve que la QVT ne suffit plus.
La QVG globalise nos besoins dans la vie en prenant en compte la santé ou la qualité de vie hors travail.
En ces temps difficiles de pandémie, de crise ou d’échec personnel, le risque est de tout voir en noir.
Le pire est certain. Oui mais certains ont touché le fond avec des situations très critiques.
Et pourtant ils sont là. Ils ont l’esprit positif du survivant.
Le chirurgien a trépané la tumeur pour éviter que le sommelier perde définitivement le goût.
Pascal vous racontera et vous transportera dans son univers de sourires et de goûts du vin.
A la crise pandémique générée par le virus s’ajoute une importante crise de la santé mentale.
Le marathon va durer des mois.
Comment se protéger des blessures physiques et psychologiques.
Le syndrome #L.E.S. permet de comprendre plus facilement les problématiques.
Mieux vaut prévenir les blessures…
Après une crise majeure, au moins dans sa longueur, des changements définitifs sont observés dans les vies pro et perso.
Modes de management, télétravail, occupation des locaux, déplacements professionnels, que restera-t-il après cette pandémie?
Nous avons vu tellement de contrastes entre les situations vécues individuellement qu’il y a fort à parier que les changements ne seront pas les mêmes suivant les organisations.
La pandémie a sans doute rendu le télétravail incontournable, ce qui présente des enjeux intéressants de souplesse pour les collaborateurs comme pour les employeurs.
Mais il y a beaucoup de paramètres à analyser et à déterminer: nombre de jours maxi, choix des jours, organisation des services impactés, horaires, moyens matériels, etc.
Cet atelier permettra d’aborder ces questions aussi bien du point de vie l’entreprise que de celui des collaborateurs.
Les entreprises ont fait des économies importantes de frais de déplacement pendant la pandémie.
Les outils de visioconférence ont beaucoup progressé. Comment va-t-on déterminer si une réunion mérite un déplacement, avec ses coûts et le temps nécessaire?
Comment faire coïncider les besoins de l’entreprises et les envies des individus concernés ?
Un sujet qui ne va pas être simple et qui jouera un rôle important dans l’envie de certains collaborateurs de continuer leur chemin dans la même organisation.
Du jour au lendemain, au printemps 2020, des collaborateurs se sont retrouvés très autonomes en télétravail à 100%.
Après la sidération des débuts, des habitudes se sont prises, avec des changements profonds dans certains liens hiérarchiques.
“Mon chef ne voit plus ce que je suis en train de faire…”
De part et d’autre de la relation n/n+1, il y a eu des plus et des moins.
Comment la relation hiérarchique va-t-elle évoluer après la pandémie ?
Objectivement, ce fut bien difficile à des nouveaux embauchés de s’intégrer pendant la pandémie.
Quand on est en période d’essais ou avec une faible ancienneté, c’est bien difficile de faire part de ses difficultés
Souvent la timidité d’un nouvel embauché était scrutée sur le lieu de travail. Les collègues ou le management tendaient la main.
Il faut non seulement s’interroger sur l’intégration de ceux qui ont rejoint l’entreprise depuis le printemps 2020, mais aussi regarder les impacts de nouvelles pratiques de télétravail ou déplacements sur les futurs nouveaux arrivants.
Après plus d’un an où certains collaborateurs (santés précaires) ne sont pas revenus sur le lieu de travail, il n’est pas évident de revenir.
Les jeunes parents connaissent certains de ces problèmes après un congé maternité ou un congé parental.
D’autres collaborateurs ont fait de simples apparitions furtives car le télétravail était la règle.
Il y a bien des points à partager face à cette transition importante dans la vie des collaborateurs et de leurs managers.
Il y a des joies, des peurs, des attentes, très variables suivant les postes et les personnalités.
Parlons-en.
Du jour au lendemain, au printemps 2020, des collaborateurs se sont retrouvés très autonomes en télétravail à 100%. Après la sidération des débuts, des habitudes se sont prises, avec des changements profonds dans certains liens hiérarchiques. “Mon chef ne voit plus ce que je suis en train de faire…” De part et d’autre de la relation n/n+1, il y a eu des plus et des moins. Comment la relation hiérarchique va-t-elle évoluer après la pandémie ?
La question des aidants est plus souvent abordée de nos jours. Il y a même une journée des aidants. C’est bien et utile. Dans cet atelier bourré d’exemples issus de rencontres avec des stagiaires du CREDIR, on mettra l’accent sur l’analyse de la compatibilité de ce rôle d’aidant avec la QVG. Prendre soin de la santé de l’aidant, analyser la comptabilité avec sa charge de travail professionnel, et garder des occasions de s’évader. Voilà une approche originale fondée sur la pédagogie CREDIR.
Avec la pandémie, beaucoup plus de collaborateurs ont perçu la complexité du retour sur le lieu de travail en ayant été absent pendant plusieurs semaines.
Il sera probablement plus facile d’aborder cette question du retour apprès une longue absence, maladie, maternité, formation, etc.
En appréhendant mieux ces phases, en les accompagnant, le professionnel concerné et son équipe de travail pourront éviter des ruptures émotionnelles qui peuvent créer bien des souffrances.
Voilà un RPS qui est peu investigué surtout préventivement.
L’OMS est catégorique : avec 3 séances d’activité physique par semaine, on sécurise son état de santé et on se sent mieux, notamment psychologiquement.
Mais nombreux sont ceux qui vivent avec des freins.
Qui dit sport, dit look, dit souffrances, dit complexes d’infériorité.
Le CREDIR a accumulé des milliers d’heures d’expérience au contact de professionnels qui redécouvrent et apprécient l’exercice physique.
Parlons en en théorie et en pratique.
Nous sommes tous fatigués après tant de mois de pandémie et une sortie de crise sans disparition complète de ces soucis épidémiologiques.
Or les défis sont importants: problèmes de recrutement, ruptures logistiques, relance de grands projet, etc.
Pour tenir, performer et s’épanouir, il fait ériger un rempart que le CREDIR a nommé les 3S.
Avec un bon sommeil, une pratique sportive régulière et un suivi régulier de la santé, les fondations de la maison sont en place.
Cet atelier analysera le pourquoi de ce rempart, et surtout le comment pour la suite.
Pour certains, la pandémie a changé la donne des repas : plus à la maison (télétravail), moins au restaurant, etc…
Combien est-ce que je dépense ?
Est-ce que je mange diététique ?
Est-ce que je contrôle les quantités ?
Il sera utile à tous les collaborateurs de se poser des questions sur ce moment important de la journée.
L’utilisation de box et la revisite de la préparation des repas des jours de boulot seront bien utiles à tous.
La pandémie a détruit ou mis en sommeil les rares pratiques de réjouissances festives sur le lieu de travail.
Les apéros Zoom sont vite passés de mode.
Dans un environnement de travail où les interactions sociales ne seront probablement plus jamais au même niveau quantitatif qu’avant la crise, le management doit veiller à ne pas proposer un environnement de travail socialement austère
Faire la fête en petits groupes ou tous ensemble peut être un moteur d’épanouissement et de développement du capital humain.
On peut légitimement être inquiet de l’impact des nouvelles façons de travailler qui découlent de la crise COVID: beaucoup plus de télétravail, moins de rencontres hors entreprises et plus de visios, freinage des activités sociales quand il y a partage de boissons et nourritures, etc.
Les conséquences sont déjà visibles avec des signes de moindre compréhension ou tolérance de l’autre.
Il faut construire ou reconstruire les LSP (liens sociaux professionnels) en prenant en compte des besoins variables qui accroissent les inégalités. “J’ai une vie familiale et sociale très riche. Je n’ai pas trop besoin des collègues”. ou “Je suis très seul dans la vie. C’est la vie professionnelle qui rompt mon isolement.”
Comprendre les phénomènes et initier des actions, tels sont les buts de cet atelier.
Lorsqu’on est confronté à des difficultés, nous sommes souvent programmés vers l’introspection et le silence.
Comprendre les causes neuropsychologiques, culturelles, expériencielles, de ce phénomène va aider à le surmonter. Avançons dans les vies professionnelles, personnelles et relationnelles, avec le réflexe du 2ème cerveau en ayant toujours quelqu’un à qui parler… de tout, de manière efficace.
Un projet majeur de transformation va créer des conditions de travail particulières pour ceux qui le conduisent.
Ces conditions vont évoluer selon des phases avec des délais à tenir et une pression de résultat quand on s’approche de la mise en route.
L’optimisation de la QVG des collaborateurs est un facteur clé pour accompagner ces phases, s’entraider et réussir ensemble, professionnellement et humainement.
Cet atelier laisse beaucoup de place au dialogue et à l’adaptation au projet spécifique de l’entreprise.
Les contraintes de travail pendant les phases de confinement de la pandémie ont révolutionné les méthodes de travail.
Qui n’a pas appris à utiliser l’outil de visioconférence? Qui s’offusque encore d’une proposition de visio?
Mais ces opportunités techniques réduisent les occasions de rencontres et altèrent les liens sociaux professionnels (#LSP).
Cet atelier propose un état des lieux et des critères de prises de décision selon les circonstances professionnelles et les interlocuteurs.
En 10 ans d’observation de profils de professionnels qui sont épuisés, les équipes du CREDIR ont pris conscience que les femmes étaient confrontées à 3 types de contraintes: les inégalités au travail, la seconde journée au domicile, et, différentes spécificités de fonctionnement de leurs corps qui modifient leur disponibilité.
Cet atelier fera le point de ces observations, en insistant sur les enjeux de santé (contraintes menstruelles, charges physiques et émotionnelles des grossesses et des recherches de grossesse, ménopause, etc.)
Trop souvent les femmes prennent insuffisamment en compte ces conséquences. Elles sont parfois plus résistantes que les hommes et vont plus loin dans la souffrance et la prise de risque, avant de dire stop…
Après plusieurs années de pratiques, on croise souvent des professionnels qui ont des idées arrêtées sur ce qu’ils préfèrent
•travail dans l’entreprise,
• télétravail,
•déplacements,
•mode hybride,
•etc.
Mais ce n’est pas si simple quand les désirs du collaborateur ne cadrent pas tout à fait avec les vues de l’entreprise.
Il est important d’utiliser l’équation de la QVG pour approcher ces questions sur une base multicritères.
Cet atelier est né du constat d’intégration plus difficile des jeunes dans les entreprises depuis la pandémie.
Incontestablement la disponibilité physique de la hiérarchie, des collègues et des RH s’est réduite. On se voit en visio. On fait faire des tutoriels.
Par ailleurs les jeunes qui démarrent leur vie professionnelle ont souvent traversé des périodes douloureuses quand leurs fins d’études coïncidaient avec la pandémie?
Avec un marché du travail tendu dans bien des filières, cet atelier permettra de faire le point sur les enjeux et les bonnes pratiques pour gérer l’intergénérationnel en entreprise.
Dans ses missions l’équipe du CREDIR rencontre des organisations qui n’arrivent pas à recruter pour les postes vacants, ou qui se désolent quand des bons profils ne restent pas et semblent zapper leur employeur.
Cet atelier permettra, après un état des lieux, d’enclencher un processus créatif pour revisiter les points clés qui peuvent attirer dans l’entreprise.
L’été 2022 nous a submergé de mauvaises nouvelles liées au climat ou aux conflits mondiaux. Ce ne sont plus seulement des news externes, ce sont des phénomènes qui nous touchent au quotidien.
L’équipe CREDIR constate une recrudescence des pensées individuelles négatives. Les cabinets de thérapeutes voient défiler les éco dépression ou autres pathologies nouvelles.
Cet atelier permettra de refaire le point sur l’impact de postures négatives et positives sur notre vie quotidienne, et sur le fonctionnement des organisations.
Les équipes du CREDIR sont témoins depuis plus d’une décennie des “ravages du sur” (sur-engagement, surtravail, surréaction, etc.).
La pandémie et les différentes crises de la planète ont sans doute remis la question du sens du travail, de la vie, davantage au 1er plan.
Cet atelier permettra de redéfinir ces notions clés et d’aider chacun à mettre à jour son positionnement par rapport au travail.
A l’heure de la vague de grande démission, nombre d’entreprises sont en sous-effectifs et doive consacrer beaucoup d’énergie à recruter et fidéliser leurs nouveaux collaborateurs. L’approche QVG peut renforcer la crédibilité de l’entreprise comme lieu où il fait bon vivre et travailler.
Fort de ses 10 années d’expérience d’accueil d’individus épuisés ou en burn-out, le CREDIR a une bonne vision des rôles potentiels des médecins traitants, spécialistes, du travail, des psychologues, des coaches et des centres interdisciplinaires?
On s’interroge notamment dans cet atelier sur la perception de la parité et de l’expertise.
Depuis la fin officielle de la crise Covid début 2023, on prend conscience que le monde du travail a profondément changé.
Il y a certes le travail distanciel et ses composantes numériques, mais il y a aussi une transformation des priorités entre la vie personnelle et la vie professionnelle, entre la vie individuelle et la vie sociale.
Cet atelier permet de faire le point sur ces tendances et d’envisager des plans d’action.
Cela fait 10 ans que le CREDIR accueille chaque mois des professionnels qui se sentent surchargés, au bord de l’épuisement. Mais tous ne sont pas sur un plan d’égalité. Avec (ou sans…) les séparations de couples on rencontre de plus en plus de femmes qui sont cheffes de famille, avec une charge mentale et une charge conséquente de travail, et qui doivent faire coexister ces responsabilités avec leur poste de travail. C’est complexe et épuisant. Pour éviter de sombrer, des réflexions doivent être partagées et des outils peuvent être mis en place.
“Dès qu’il sonne cela me stresse … Ils sont jeunes et ne veulent plus de coups de fils”, tél était le titre d’un article de journal de janvier 2023.
Cela correspond à ce que nous observons en entreprise, pareil pour les mails auxquels même des plus séniors ne répondent plus.
Après un état de lieu interactif, cet atelier propose des pistes pour une communication professionnelle qui soit efficace, et pas trop stressante, malgré les différences d’approches des uns et des autres.
Le confinement a fait rentrer brusquement et durablement dans les vies professionnelles de nouvelles pratiques : du télétravail qui empêche de se rencontrer, des visios qui se succèdent sans pause, des nouvelles recrues qui ne s’attachent pas comme “dans le temps”.
Les souffrances et les fatigues induites apparaissent.
De nouveaux Risques Psycho Sociaux sont au coin des couloirs.
Comment les identifier et les prévenir?