Ateliers
Après des années de QVT dans certaines entreprises bien intentionnées, il est curieux que les collaborateurs continuent à flancher.
C'est la preuve que la QVT ne suffit plus.
La QVG globalise nos besoins dans la vie en prenant en compte la santé ou la qualité de vie hors travail.
Du jour au lendemain, au printemps 2020, des collaborateurs se sont retrouvés très autonomes en télétravail à 100%. Après la sidération des débuts, des habitudes se sont prises, avec des changements profonds dans certains liens hiérarchiques. "Mon chef ne voit plus ce que je suis en train de faire…" De part et d'autre de la relation n/n+1, il y a eu des plus et des moins. Comment la relation hiérarchique va-t-elle évoluer après la pandémie ?
On peut légitimement être inquiet de l'impact des nouvelles façons de travailler qui découlent de la crise COVID: beaucoup plus de télétravail, moins de rencontres hors entreprises et plus de visios, freinage des activités sociales quand il y a partage de boissons et nourritures, etc.
Les conséquences sont déjà visibles avec des signes de moindre compréhension ou tolérance de l'autre.
Il faut construire ou reconstruire les LSP (liens sociaux professionnels) en prenant en compte des besoins variables qui accroissent les inégalités. "J'ai une vie familiale et sociale très riche. Je n'ai pas trop besoin des collègues". ou "Je suis très seul dans la vie. C'est la vie professionnelle qui rompt mon isolement."
Comprendre les phénomènes et initier des actions, tels sont les buts de cet atelier.
Lorsqu'on est confronté à des difficultés, nous sommes souvent programmés vers l'introspection et le silence.
Comprendre les causes neuropsychologiques, culturelles, expériencielles, de ce phénomène va aider à le surmonter. Avançons dans les vies professionnelles, personnelles et relationnelles, avec le réflexe du 2ème cerveau en ayant toujours quelqu'un à qui parler... de tout, de manière efficace.
Un projet majeur de transformation va créer des conditions de travail particulières pour ceux qui le conduisent.
Ces conditions vont évoluer selon des phases avec des délais à tenir et une pression de résultat quand on s'approche de la mise en route.
L'optimisation de la QVG des collaborateurs est un facteur clé pour accompagner ces phases, s'entraider et réussir ensemble, professionnellement et humainement.
Cet atelier laisse beaucoup de place au dialogue et à l'adaptation au projet spécifique de l'entreprise.
En 10 ans d'observation de profils de professionnels qui sont épuisés, les équipes du CREDIR ont pris conscience que les femmes étaient confrontées à 3 types de contraintes: les inégalités au travail, la seconde journée au domicile, et, différentes spécificités de fonctionnement de leurs corps qui modifient leur disponibilité.
Cet atelier fera le point de ces observations, en insistant sur les enjeux de santé (contraintes menstruelles, charges physiques et émotionnelles des grossesses et des recherches de grossesse, ménopause, etc.)
Trop souvent les femmes prennent insuffisamment en compte ces conséquences. Elles sont parfois plus résistantes que les hommes et vont plus loin dans la souffrance et la prise de risque, avant de dire stop...
L'été 2022 nous a submergé de mauvaises nouvelles liées au climat ou aux conflits mondiaux. Ce ne sont plus seulement des news externes, ce sont des phénomènes qui nous touchent au quotidien.
L'équipe CREDIR constate une recrudescence des pensées individuelles négatives. Les cabinets de thérapeutes voient défiler les éco dépression ou autres pathologies nouvelles.
Cet atelier permettra de refaire le point sur l'impact de postures négatives et positives sur notre vie quotidienne, et sur le fonctionnement des organisations.
A l'heure de la vague de grande démission, nombre d'entreprises sont en sous-effectifs et doive consacrer beaucoup d'énergie à recruter et fidéliser leurs nouveaux collaborateurs. L'approche QVG peut renforcer la crédibilité de l'entreprise comme lieu où il fait bon vivre et travailler.
Cela fait 10 ans que le CREDIR accueille chaque mois des professionnels qui se sentent surchargés, au bord de l'épuisement. Mais tous ne sont pas sur un plan d'égalité. Avec (ou sans…) les séparations de couples on rencontre de plus en plus de femmes qui sont cheffes de famille, avec une charge mentale et une charge conséquente de travail, et qui doivent faire coexister ces responsabilités avec leur poste de travail. C'est complexe et épuisant. Pour éviter de sombrer, des réflexions doivent être partagées et des outils peuvent être mis en place.